lundi 27 février 2017

Pelé Jeunes Dassa 2017

Les 17, 18 et 19 Février 2017 dernier, treize (13) choristes de notre chorale, ont pris part à la 32ème édition du Pelé-Jeunes Dassa 2017. 

Il y avait à la tête de cette délégation :
-     KONCONGNISSOU Nicole (Alto – Présidente de la chorale)
-     EZIN Vianney (Ténor – Secrétaire Générale de la coordination de jeunes de Godomey – Vice-président de la chorale)
Délégation de la Chorale
Et :
-      AHOUANGAN Saturnin (Bass)
-       AVOUNGNANSSOU Aimée (Alto)
-      GADJIN Daniel (Bass)
-      GOUNON Martial (Ténor)
-     KOUDAGBA Abel (Bass)
-     KOUDJI Arthur (Ténor)
-      OCHU Messy (Soprane)
-   OROUFICO Vitaline (Soprane)
-      QUENUM Gisèle (Soprane)
-      SOHOU Laurenda (Alto)
-      ZINVI Parfait (Bass)

Avec les cinquante-trois [53] autres pèlerins, issues des autres mouvements, groupes et associations de notre paroisse (Paroisse Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus et de la Sainte Face de Godomey), ils ont pris part à toutes les activités de ce pèlerinage.
Notons qu'ils ont, avec tous les choristes des chorales de notre doyenné (doyenné de Cocotomey), animé la Procession Mariale, un des temps fort de ce grand moment de spiritualité.

vendredi 24 février 2017

Commémoration 15 ans

        L’année 2017 a démarré avec ses premières activités  par la neuvaine à Sainte Joséphine Bakhita. Entamer le lundi 30 janvier 2017 elle s’est achevée le mardi 07 février 2017, veille de notre fête patronale. Ce fut neuf jour durant lesquels la chorale a vécu un moment de spiritualité en priant pour le repos de l’âme des choristes défunts et des parents défunts des choristes, et en confiant chacun de ses membres à Dieu par l’intercession de notre Sainte patronne. Cette neuvaine à son dernier jour a connu la présence effective de notre aumônier, le père Saturnin LAWSON et le président de la Coordination des jeunes, Marx TOMETY.

Le mercredi 08 Février 2017 à 19H00, jour de la fête patronale, une messe d’action de grâce a été demandé, pour remercier le Seigneur pour ces années d’évangélisation par le chant. Une présence des membres de notre chorale a été constatée durant cette messe.

Le samedi 11 Février 2017, la chorale a participé à la récitation des vêpres solennelles, ce fut l’occasion de prier pour le repos de l’âme de nos défunts. 

Gâteau d'anniversaire

Place a été faite, à la fête ce samedi dans la soirée et que dire de cette fête qui a connue la présence d’une délégation du clergé conduite par le Curé de la paroisse, le père Hyacinthe ALLAGBE,
Père Hyacinthe ALLAGBE et le Diacre Cipesvy GAHOUNBA
du diacre  Cipesvy GAHOUNBA et le séminariste Horace B. DONOU, la présence du président de la coordination des jeunes, Marx TOMETY et du premier organisateur de la coordination des jeunes Léonce YEHOUNME, d’une délégation des aînés  de la chorale avec à sa tête, la grande-sœur Carole GBAGUIDI, les grand-frères Godfroy DOHOU, Bernard DOSSOU, sans oublié Fiacre AGNIDOMINHOU, Landry FATON, Euphrem KONCONGNISSOU et tous les autres qui ont honoré de leur présence cette soirée. La soirée de commémoration des 15 ans de la chorale a connu la participation de plusieurs choristes et de leurs invités.

Mot de la présidente
         La soirée a démarré avec le mot de bienvenu de la présidente en exercice de la chorale, de la prise de la porale de la première présidente de la chorale qui s’est fait accompagner par les grand-frère Bernard DOSSOU, Godfroy DOHOU qui ont été rejoint par la
suite par les autres ainées. Un des faits marquants fut la bénédiction de ceux qui ont fêté leur anniversaire en ce début de mois de février et qui étaient présent à la soirée.
Mot des aînés
         Nous avons eu droit au mot du père curé de la paroisse et la bénédiction des repas par le diacre pour le diner. Après le diner, il y a eu la  coupure du gâteau. Notons ce début de soirée a été par la revue de presse présenter par l’humoriste Alain et qu’après le diner des anecdotes ont été raconté après la coupure du gâteau. La soirée s’est poursuivie par la danse jusqu’au petit matin.

La présidente entourée des choristes

  
Procession
         La messe du dimanche a été marquée par la procession des offrandes.

C’est lieu pour le bureau de la chorale de remercier les uns et les autres pour les sacrifices consentis, les dons de divers ordres et tous les efforts pour rendre possible les activités prévues dans le cadre de la commémoration des quinze ans de patronage de Sainte Joséphine.

Que Dieu vous bénisse...




mercredi 8 février 2017

08 Février: Jour de fête Patronale


     Le bureau exécutif de la Chorale Sainte Joséphine Bakhita, souhaite une très bonne fête à toutes et à tous en ce jour où l’Eglise commémore Sainte Joséphine Bakhita, « Cette sainte fille d'Afrique », Sainte Patronne de la chorale des jeunes.

A la découverte de Sainte Joséphine Bakhita


Aujourd’hui 08 Février, l'Eglise commémore Sainte Joséphine Bakhita. Cette Sainte est aussi celle qui patronne de notre chorale depuis le 08 Février 2002 soit 15 ans…

Allons, alors à la découverte de la Sainte patronne  de notre chorale des jeunes…?

Née à Olgossa, près du Mont Agiterei, dans la tribu nubienne des Dagiù, province du Darfour, au Soudan en 1869, Joséphine Bakhita est issue d'une famille composée de quatre sœurs et de trois frères.

Elle n’avait que cinq ans lorsque sa sœur Kishmet fut enlevée sous ses yeux par des trafiquants d’esclaves en 1874. Quatre ans plutard, en 1878, elle fut à son tour la victime de négriers musulmans qui la vendent et la revendent plusieurs fois, sur les marchés d'El Obeid et deKhartoum, en lui infligeant de mauvais traitements. Le traumatisme fut si grand qu'elle en oubliera son premier nom. On lui donna le nom de Bakhita, qui signifie « la chanceuse »


Elle appartint à un général turc qui lui fit subir de cruelles scarifications (tatouages) quand il décida de vendre toutes ses esclaves.

Ce fut à ce moment, en 1883 lorsqu’elle fut acquise par le consul d'Italie à Khartoum, Calisto Legnani que la vie de Joséphine changea alors radicalement à l’âge de quatorze (14) ans après cinq (05) années de souffrances. Elle témoigna d’ailleurs que « Le nouveau maître était assez bon et il se prit d'affection pour moi. Je n'eus plus de réprimandes, de coups, de châtiments, de sorte que, devant tout cela, j'hésitais encore à croire à tant de paix et de tranquillité ».

A cause de la révolution mahdiste, en 1885 le consul devrait quitter le Soudan et Bakhita lui demandait de l'emmener. Il accepta et ils s'embarquent avec une famille amie, les Michieli. Arrivés à Gênes, Madame Maria Turina Michieli demande à garder Bakhita à son service. Elle arrive ainsi à Zianigo, dans la province de Venise

Madame Michieli ayant eu une petite fille, lui en confia la garde. Bakhita qui s'en occupe avec beaucoup de tendresse. C'est ensemble qu'elles retournent au Soudan, avant de revenir à nouveau en Italie.

Là, Madame Michieli confia pour une brève période sa petite fille et Bakhita à l'institut des Catéchistes de Venise, tenu par les religieuses canossiennes. Et là, quand Madame Michieli revint pour la reprendre pour la ramener chez elle, elle demanda à rester chez les religieuses, malgré sa tristesse de quitter Mimmina, ce qui fut accepté avec difficulté. L'affaire en effet alla jusqu'à un procès. Néanmoins, le 29 novembre 1889, le procureur déclara que Bakhita était libre de choisir là où elle voulait rester puisque l'esclavage n'existait pas en Italie.

« Les Sœurs firent mon instruction avec beaucoup de patience, dit-elle, et me firent connaître ce Dieu que tout enfant je sentais dans mon cœur sans savoir qui il était. Voyant le soleil, la lune et les étoiles, je me disais en moi-même : qui donc est le maître de ces belles choses ? Et j'éprouvais une grande envie de le voir, de le connaître et de lui rendre mes hommages ».

Elle fut  baptisée  le 09 janvier 1890 par le cardinal-archevêque de Venise, Monseigneur Domenico Agostini, et reçut la Confirmation. Elle aimait à baiser les fonts baptismaux en disant : « Ici, je suis devenue fille de Dieu ».

Trois ans après, elle demanda à devenir religieuse, à 24 ans. La Sœur Supérieure, Anna Previtali, lui dit : « Ni la couleur de la peau, ni la position sociale ne sont des obstacles pour devenir sœur ». Le 7 décembre 1893, Bakhita rejoignit le noviciat des Sœurs de la Charité à l'institut de catéchuménat de Venise.

C'est le 8 décembre 1896, à Vérone, qu'elle prononce ses premiers vœux. En 1902, elle est transférée à Schio, province de Vicenza où, pendant plus de cinquante ans, elle s'occupe de la cuisine, de la lingerie, de la conciergerie. En1927, elle prononce ses vœux perpétuels.


Madre Moretta
Aimée de tous, on lui donne le surnom de Petite Mère Noire (Madre Moretta). Elle disait : «Soyez bons, aimez le Seigneur, priez pour ceux qui ne le connaissent pas. Voyez comme est grande la grâce de connaître Dieu. ».

En 1910, elle écrivit son histoire à la demande de sa Supérieure, sœur Margherita Bonotto.

Après une longue et douloureuse maladie, et une pénible agonie où elle revivait les jours de son esclavage en murmurant : « Lâchez mes chaînes, elles me font mal », elle s'éteint le 8 février 1947 en invoquant : « Notre Dame ! Notre Dame ! ».

Immédiatement, les gens accourent sur sa tombe, et beaucoup de grâces y sont obtenues.

Béatifiée le 17 mai 1992, elle a été canonisée par Jean-Paul II le 1er octobre 2000.

Le pape dira à cette occasion : « Cette sainte fille d'Afrique, montre qu'elle est véritablement une enfant de Dieu : l'amour et le pardon de Dieu sont des réalités tangibles qui transforment sa vie de façon extraordinaire ».

Sainte Joséphine Bakhita
(1869 - 8 février 1947)
Elle était spécialement prisée par le pape Benoît XVI, qui la mentionna dans son encyclique Spe Salvi.